ENGAGEMENT QUALITE ET ETHIQUE

ENGAGEMENT QUALITE

Nos stagiaires sont notre priorité. Nous mettons tout en œuvre pour satisfaire leurs exigences afin de leur offrir des formations de qualité et de répondre pleinement à leurs besoins.

L'amélioration continue de nos processus constitue le moteur de notre organisation. 

Notre professionnalisme nous permet d’anticiper les besoins futurs de nos stagiaires et d’offrir le catalogue de formation en adéquation avec ces derniers.

La qualité de nos formateurs constitue une exigence majeure : nous sommes attentifs à l'élévation de leur niveau de compétences et à leur adhésion à nos valeurs.

ETHIQUE:

Comme vous l'avez surement découvert en parcourant notre site, la démarche de notre Institut se veut à la fois intégrative, rigoureuse et ouverte. 

L'apprentissage puis le recours à différents états de conscience se fondent sur un rapport de confiance liant formateurs, praticiens et patients. Cette confiance repose sur un engagement éthique de chacun à :
  • respecter les règles légales et la déontologie propre à sa profession d’origine
  • penser les choix thérapeutiques dans l'objectif d’améliorer le bien-être du patient et sa santé, dans le respect de ses objectifs exprimés, de ses valeurs, de ses croyances et de son intégrité physique et psychique.
Dans cette optique, l'Institut demande à chaque stagiaire participant à une formation en hypnose de souscrire à la charte éthique de la CFHTB présentée ci-dessous :

1. L’intérêt et le bien-être du patient constituent l’unique objectif.

2. L’hypnose est considérée comme une possibilité d’aide parmi d’autres formes de pratiques scientifiques ou cliniques validées. Il en résulte que la connaissance des techniques d’hypnose ne saurait constituer une base suffisante pour l’activité thérapeutique ou de recherche. L’hypnopraticien doit donc avoir les diplômes requis lui permettant d’exercer dans le champ où s’exerce son activité hypnotique : Médecin, Chirurgien-dentiste, Psychologue, Sage-femme, Infirmier, Kinésithérapeute.

3. L’hypnopraticien limitera son usage clinique et scientifique de l’hypnose aux aires de compétences que lui reconnaît le règlement de sa profession.

4. L’hypnose ne sera pas utilisée comme une forme de distraction. Tout particulièrement, toute participation à des spectacles publics, ludiques sera proscrite.

5. L’hypnopraticien ne facilitera ni ne soutiendra la pratique de l’hypnose par des personnes non qualifiées (Cf ci-dessus point 2).

L’hypnopraticien ne donnera en aucun cas des enseignements impliquant l’apprentissage des techniques hypnotiques à des personnes ne disposant pas d’une qualification adéquate. Des exceptions seront faites à ce principe pour les étudiants en fin de qualification dans les champs professionnels où doit s’inscrire leur pratique de l’hypnose : Médecins, Chirurgien-dentistes, Psychologues, Sage-femmes, Infirmiers, Kinésithérapeutes. Dans tous ces cas, le passage à la pratique de l’hypnose reste conditionné à l’obtention de qualification complète dans le champ professionnel considéré. Pour les étudiants des professions paramédicales, la pratique de l’hypnose supposera la mise en place d’une structure de travail supervisé, selon le champ d’application, par un hypnopraticien Médecin, Chirurgien-dentiste, Psychologue, Sage-femme pratiquant l’hypnose depuis plus de 5 ans.

6. La communication d’informations relatives à l’hypnose auprès des différents médias est recommandée dans la mesure où elle s’appuie sur des connaissances précises et permet de minimiser les distorsions et les représentations erronées relatives à l’hypnose. Réciproquement, il est demandé aux hypnopraticiens formés par l’Institut d’éviter toute action (communications, publications, etc.) tendant à compromettre l’aspect scientifique et la dimension éthique de la pratique hypnotique en donnant à celle-ci une représentation tendancieuse (amalgame avec magie et les para-sciences) et simpliste incitant par là même à une pratique non qualifiée. En cette matière, s’abstenir de tout triomphalisme militant et citer ses sources sont deux règles qui s’imposent. Pour toutes ces raisons, si les hypnopraticiens en cours de formation sont encouragés, sous supervision de leurs formateurs, à publier des travaux scientifiques auprès de la communauté scientifique, ils doivent en revanche s’abstenir totalement de faire des communications publiques sur l’hypnose ou la thérapie brève dans les médias non scientifiques (conférences, articles, interviews, contacts avec la presse écrite ou audiovisuelle) tant que leur formation n’est pas terminée.





 

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